lundi 23 décembre 2013

Coup de gueule : la série des dégâts matériels continue



Avant de vous raconter nos quelques jours dans le cirque de Salazie, un petit coup de gueule.

Sacrebleu de nom de dieu !! C’est bien la peine d’acheter une tente super chère, censée être haut de gamme, pour qu’elle pète par tous les bouts comme elle le fait !

Vous vous souvenez qu’on a un premier arceau qui a pété lorsqu’on était dans le cirque de Mafate ? Plus précisément, ce n’est pas l’arceau en lui-même qui avait cassé, c’est l’embout qui lie 2 morceaux d’arceaux entre eux et qui permet donc de monter la tente. Cela s’est passé exactement le 12 décembre. On avait cru à une erreur de notre part car c’est arrivé à un moment où François fourrageait dans l’auvent.

Mais 9 jours plus tard, en pleine nuit, tac ! Nous sommes réveillés en sursaut. Un 2ème embout pète exactement de la même façon, brisé net en son milieu.

Cette fois, le kit de réparation de la tente ne suffit plus. Après un essai infructueux de bricolage avec une canette, François réussit finalement à bricoler un tube de fortune avec un couvercle de boite de conserve (merci à Gui, le monsieur avec qui on partageait le camping à Ilet-à-Vidot, qui a décidé opportunément de manger un couscous en boite à 10h du matin).

La tente est un peu bancale mais ça a l’air de marcher.

Mais, le jour suivant, un troisième embout casse… Nous sommes le 22 décembre : 3 embouts en 10 jours, nous commençons vraiment à croire que la tente est en fin de vie… D’autant plus que nous avons également certaines des coutures qui lâchent.

Or elle nous a servi (en tout, avec les utilisations du monsieur avant nous, car nous l’avons acheté d’occasion) trente fois maximum ! Un peu court pour une tente de ce prix-là (500 euros neuve quand même !).

On est vraiment dépité, on n’ose plus utiliser notre tente. Elle est non seulement bancale, mais nous risquons à chaque instant que les arceaux démis déchirent la toile de tente…

Or on en avait encore vraiment besoin, ne serait-ce que chez Catherine, notre futur hôte de wwoofing, où nous étions censé enchaîner camping à la ferme puis wwoofing, le tout en tente.

On est en train de contacter Le Vieux Campeur pour voir comment faire. Des utilisateurs de cette tente ont d’ailleurs mis des commentaires sur leur site : mêmes mésaventures que nous, avec les arceaux qui pètent après une trentaine d’utilisation ! Défaut de fabrication ? pour des tentes hauts de gamme, ça craint…

Et en attendant, on loge dans une chambre du gîte de Catherine et on va essayer de se procurer des arceaux de remplacement.

Mais j'anticipe un peu, revenons au récit de nos quelques jours dans Salazie.

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